【Article avec défauts】Hozen-ji Yokocho (Ôsaka)
Pourtant situé dans l’animé quartier d’affaire de Minami, c’est un coin de rue qui a l’odeur de Naniwa (ancien nom de Ôsaka). Aux deux extrémités de son entrée, le panneau « Hozen-ji Yokocho » ajoute à son charme.
【Article avec défauts】Tsûtenkaku (Ôsaka)
L’actuelle tour Tsûtenkaku est une reconstruction de l’originale. L’originale construite 90 ans plus tôt est une structure au design excentrique : la partie supérieure est inspirée de la Tour Eiffel, la partie inférieure de l’Arc de Triomphe. Ouvert toute l’année de 9h à 21h.
【Article avec défauts】Tsûtenkaku (Ôsaka)
L’actuelle tour Tsûtenkaku est une reconstruction de l’originale. L’originale construite 90 ans plus tôt est une structure au design excentrique : la partie supérieure est inspirée de la Tour Eiffel, la partie inférieure de l’Arc de Triomphe. Ouvert toute l’année de 9h à 21h.
【Article avec défauts】Hozen-ji Yokocho (Ôsaka)
Pourtant situé dans l’animé quartier d’affaire de Minami, c’est un coin de rue qui a l’odeur de Naniwa (ancien nom de Ôsaka). Aux deux extrémités de son entrée, le panneau « Hozen-ji Yokocho » ajoute à son charme.
Ombrelle Janome (Kyôto)
L’ombrelle Janome est originaire de Chine, transmise lors de l’ère Heian. A cette époque, loin d’être utilisée en temps de pluie, on le considérait comme un outil qui symbolise l’autorité de l’aristocratie, et qui protégeait autant des rayons du soleil que des mauvais sorts. Fait en papier japonais (washi) et en bambou, c’est un objet artisanal...
Tour de Kyôto (Kyôto)
La Tour de Kyôto, située devant l’entrée Torimaru Chûo de la Gare de Kyôto, mesure 131m de hauteur, ce qui en fait le plus haut monument de la ville.
Château de Nijô (Kyôto)
Comptant parmi les trois plus beaux paysages du Japon, la fabuleuse et mystique silhouette de ce « pont » lui vaut d’être enregistré en 1952 (an 27 de l’ére Shôwa) parmi les panoramas les plus exceptionnels du Japon.
Amanohashidate (Kyôto)
Comptant parmi les trois plus beaux paysages du Japon, la fabuleuse et mystique silhouette de ce « pont » lui vaut d’être enregistré en 1952 (an 27 de l’ère Shôwa) parmi les panoramas les plus exceptionnels du Japon.