Kitsune udon (Ôsaka)

Des udon (pâtes épaisses) sur lesquelles ont ajoute du tofu frit, qui a la couleur du renard (« kitsune » en japonais). Osaka est un des berceaux de ce plat.

Akashi-yaki (Dango-yaki) (Hyôgo)

Spécialité de la ville d’Akashi, ses habitants désignent ce plat sous l’appellation Tamagoyaki. Son histoire remonte à plus de 160 ans et on dit qu’il est à l’origine du Takoyaki.

Nageire-dô (Tottori)

Temple construit sur une falaise abrupte, selon la légende, c'est un moine qui l'aurait bâtit grâce au pouvoir du bouddhisme. Le Nageire-dô qui constitut le temple Sanbutsuji est un Trésor National. C'est un ancien temple de style bouddhiste Tiantai. Aujourd'hui encore la méthode de construction reste un mystère. Toujours debout au fond de la nature...

Ten-musu (Aichi)

Avec les kishimen et le miso-katsu, les "ten-musu" font partie des saveurs de Nagoya. Si il semblerait que ses origines viennent de Mie, aujourd'hui c'est un plat typique de Nagoya. On fait croustiller des tenpura de petites crevettes dans de l'huile de maïs qu'on introduit dans une boule de riz. L'assaisonnement serait strictement confidentiel.

Hacchô Miso (Aichi)

Dans la ville de Okazaki, quartier Hachô-machi (anciennement le village Hachô-mura), est produit aujourd'hui encore et depuis le début de l'ère Edo un miso traditionnel.

Petit déjeuner "Morning" (Aichi)

Le menu "petit déjeuner" typique dans les cafés le matin. Parmi les aliments proposés, des toasts et des oeufs durs. Il semblerait que la ville d'Ichinomiya en soit le berceau.

Temple Kawasaki Daishi (Kanagawa)

Depuis très longtemps, le temple Kawasaki Daishi Heiken-ji est connu en tant que "Yakuyoke No Odaishi-sama", c'est-à-dire "Le Grand Maître qui protège du mal". Il est un des temples les plus visités au 1er janvier lors du hatsumôde (la première visite au temple/sanctuaire).

Buddha de Kamakura (Kanagawa)